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Articles

Affichage des articles du avril, 2013

Barghouti, une chance pour la paix

Disons le tout net aux diri­geants poli­tiques occi­dentaux qui, de Paris à Washington, pleur­nichent sans rien faire, s’alignant la plupart du temps sous la casaque du gou­ver­nement réac­tion­naire israélien  : 
si vous sou­haitez vraiment tra­vailler à une solution paci­fique au Proche-​​Orient, obtenez la libé­ration du diri­geant pales­tinien Marouane Bar­ghouti, condamné à la prison à per­pé­tuité . Exigez la grâce que Shimon Peres avait promise en janvier  2007 dans l’éventualité de son élection à la pré­si­dence. Accom­plissez, pour une fois, une action concrète 
en faveur de la paix. Marouane Bar­ghouti est souvent qua­lifié de «  Mandela pales­tinien  ». Son par­cours, ses longues années de prison, son ancrage et autorité parmi les siens ainsi que sa vision pros­pective sont autant de réa­lités et de qua­lités iden­tiques à celles 
de l’ancien pré­sident 
sud-​​africain. Marouane Bar­ghouti, 
c’est d’abord l’histoire d’un homme marquée par des empri­so

Ziad Medoukh, bientôt dans le Jura

Ziad Medoukh est un professeur de français palestinien, responsable du département de français de l’université Al-Aqsa de Gaza, et coordinateur du Centre de la paix de cette université. Il a terminé ses études de didactique du français à l’université de Paris VIII où il obtint en 2009 un doctorat en Sciences du Langage. Il est l’auteur de nombreuses publications concernant l’enseignement du français en Palestine et aussi la non-violence. Très attaché aux principes de la démocratie, de la liberté, des droits de l’homme et de la Francophonie, Ziad Medoukh a été fait Chevalier de l’Ordre des Palmes académiques de la république française en 2011. Il est le premier citoyen palestinien à obtenir cette distinction. Conférencier infatigable sur Gaza et la Palestine, il multiplie, surtout en France et en Europe, et autant qu’il le peut, les rencontres avec les associations et les réseaux de jeunes, chaque fois que ses activités académiques et professionnelles lui permettre de f

17 avril, journée internationale des prisonniers politiques palestiniens

Le 17 avril 1974 est la date de la libération du premier prisonnier palestinien Mahmoud Bakr Hijazi des prisons de l'occupation lors du premier échange de prisonniers avec les autorités israéliennes. En 1975, pour souligner la nécessité de consacrer une journée aux personnes emprisonnées en raison de leur engagement politique le Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP) faisait du 17 avril la Journée internationale des Prisonniers Politiques pour affirmer la volonté de continuer la lutte pour la liberté et la dignité des siens détenus dans les geôles de l'occupation israélienne. Chaque jour, chaque mois, chaque année apporte son lot, d’arrestations, d’emprisonnements, de torture ou d’exécution lente. Des familles en souffrance réclament les corps de leurs proches morts depuis des décennies et enterrés dans des cimetières portant des numéros. En 2013,  Arafat Jaradat est torturé à mort par le Shin bet quelques jours après son arrestation. Samer Al-Issa

UN STAND VIVANT

Huile d'olive, zatar, faiences d'Hébron : le stand du réseau pour une paix juste au Proche Orient - en partenariat avec Le Philistin- a reçu un bon accueil ce samedi matin au marché de Dole.   La vente était aussi l'occasion de rencontrer les membres du réseau et de d'échanger autour d es actions en cours : la campagne 1000 oliviers pour la paix qui se poursuit en 2013 ; la participation au Festival "Scènes Méditerranéennes" consacré au Proche Orient, en mai prochain . Ce Festival est organisé par Scènes du Jura - devenues cette semaine un Scène nationale.

LIBERTE

Georges Ibrahim ABDALLAH, libanais, membre du Front Populaire de Libération de la Palestine a été arrêté en 1984. On lui a imputé la mort d'un diplomate américain et d'un agent israélien en France pendant l'invasion du Liban par Israël. Condamné à la perpétuité, il a terminé sa peine de sûreté en 1999. Il est donc libérable depuis. Soumis aux pressions américaines et israéliennes, les gouvernements français successifs ont toujours refusé cette mise en liberté malgré les avis de la justice française . Le 21 Novembre 2012, à nouveau , les juges français ont demandé sa libération et son expulsion de France vers le Liban. Le Liban a accepté de le recevoir. Il faut noter que le chef des services secrets français de l'époque, qui a mené l'enquête, a reconnu publiquement, l'an dernier, que celle-ci avait connu quelques entorses et que Mr Aballah ne pouvait être responsable des meurtres invoqués pour le condamner. Mais le scandale continue ! L

VENTE D'ARTISANAT PALESTINIEN AU MARCHE