Jeudi 15 novembre, en mairie de Dole,la soirée débat sur l'eau en Palestine, dans le cadre du
Festival des Solidarités, a réuni un public nombreux et attentif.
Une exposition dans le hall, devant la salle Edgar Faure, présentait les enjeux de la question de l'eau en Palestine.
"En privant les palestiniens du minimum vital en eau potable, Israël utilise un bien commun, une ressource inaliénable comme arme de guerre."
Le débat animé par le Réseau pour une paix juste au Proche Orient, les témoignages et explications de Thibaut Bize, maire adjoint à la solidarité internationale de Besançon, de Sarah Katz, démographe et de Pierre Stambul, co-président de l'UJFP ont permis à la fois de situer les enjeux du droit à l'eau et des actions de solidarité internationale pour contribuer à la justice et l'indépendance, l'autonomie du peuple palestinien.
Une exposition dans le hall, devant la salle Edgar Faure, présentait les enjeux de la question de l'eau en Palestine.
"En privant les palestiniens du minimum vital en eau potable, Israël utilise un bien commun, une ressource inaliénable comme arme de guerre."
Le débat animé par le Réseau pour une paix juste au Proche Orient, les témoignages et explications de Thibaut Bize, maire adjoint à la solidarité internationale de Besançon, de Sarah Katz, démographe et de Pierre Stambul, co-président de l'UJFP ont permis à la fois de situer les enjeux du droit à l'eau et des actions de solidarité internationale pour contribuer à la justice et l'indépendance, l'autonomie du peuple palestinien.
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| Sarah Katz a fait part de sa participation à la flottille de la Liberté et de son arrestation dans les eaux internationales et la confiscation du bateau par les autorités israéliennes. |
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| Pierre Stambul, co-président de l'Union Juive Française pour la paix a expliqué la construction par son association d'un chateau d'eau alimentant une centaine de fermes dans la bande de Gaza. |
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| Thibaut Bize, maire adjoint à la solidarité internationale a évoqué le jumelage de la ville de Besançon avec le camp de réfugié.e.s d'Aqabat Jabr, près de Jéricho (en Cisjordanie) et la réfection du réseau d'eau.
Le débat a mis en avant la volonté israélienne d'étouffer l'économie palestinienne, dans un conflit dont le caractère n'est pas religieux mais bien de type colonial.
La campagne BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) est un moyen d'agir pour le droit à l'autodétermination du peuple Palestinien.
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| Les intervenants accompagné d'Ahmed Alustah, jeune chercheur de Gaza, avec les responsables du Réseau pour une paix juste au Proche Orient : Laurence Bernier et Chantal Léculier et la présidente de la Plate-forme de solidarité internationale, Samia Coupat |
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