Accéder au contenu principal

Des étudiants palestiniens participent à un concours de nouvelles francophones


Le département de français et le Consulat de France organisent un concours de nouvelles francophones

Le département de français de l’université Al-Aqsa de Gaza a organisé, le jeudi 29 avril 2010, un concours de nouvelles francophones et cela en partenariat avec le Consulat de France à Jérusalem, notamment avec le service de coopération linguistique et éducative .
Le concours, qui a eu lieu dans les locaux du département de français, a rassemblé 16 étudiantes et étudiants de tous les niveaux et a duré plus de trois heures.
Monsieur Ziad Medoukh, responsable du département de français et Monsieur Ihab Abou Mammar du Centre culturel français de Gaza étaient les deux organisateurs du concours et en ont assuré le bon déroulement.
Ce concours a fait suite aux trois ateliers d’écriture organisés pour les étudiants de Gaza par le Consulat et le département, avec l’écrivain française Yanne Dimay.


Il s’est fait dans le cadre d’un projet francophone international soutenu par l'UNESCO et la Francophonie, sur l'écriture et l'imagination.
En France, un jury de cinq personnes va sélectionner les trois meilleures nouvelles dont les auteurs recevront diverses récompenses, dont un voyage en France, une publication de leurs nouvelles dans des revues francophones, ainsi que des livres et des dictionnaires.
L’organisation de ce concours pour les étudiants de ce seul et unique département de français dans les université de Gaza prouve le bon niveau des jeunes étudiants qui y sont inscrits, il témoigne aussi des excellentes relations existant entre le Consulat général de France à Jérusalem et l’université Al-Aqsa de Gaza. 

Par Ziad Medhouk, le 18 mai 2010

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA PAIX MAINTENANT !

  Intervention de Laurence Bernier, pour le Réseau pour une paix juste au Proche Orient LA PAIX MAINTENANT ! Aujourd’hui, Samedi 21 septembre 2024, c’est la journée internationale de la paix, née d’une décision de l’ONU en 2001. Elle était destinée à l’origine aux institutions (Etats, provinces, communes). Mais il faut bien reconnaitre que ce sont surtout les associations qui la font vivre. « L’année 2024 marque le 25e anniversaire de l’adoption par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration et du Programme d’action sur une culture de la paix. Dans cette déclaration, l’ONU souligne que la paix « n’est pas simplement l’absence de conflits, mais est un processus positif, dynamique, participatif qui favorise le dialogue et le règlement des conflits dans un esprit de compréhension mutuelle et de coopération « C’est pourquoi pour la journée internationale de la paix 2024, nous ap...
  ON NE POURRA PAS DIRE QU’ON NE SAVAIT PAS ! En ce début d’année 2025,   après 457 jours de massacres, l’agression israélienne se poursuit bombardant Gaza, prison à ciel ouvert devenue camp d’extermination. L’aide humanitaire est entravée et des enfants meurent de faim et de froid. Avec le silence complice des gouvernements européens ! RESPECT DU DROIT INTERNATIONAL ! En 2024,   le droit s’est pourtant affirmé : la Cour Internationale de Justice a ordonné des   mesures pour la prévention du génocide en cours et l’arrestation du 1er ministre Netanyahou, de l’ancien ministre de la Défense et d’un dirigeant du Hamas et la fin de l’occupation du territoire palestinien avec le démantèlement des colonies   en Cisjordanie, d’ici septembre. AVEC LE COLLECTIF NATIONAL POUR UNE PAIX JUSTE ET DURABLE ENTRE PALESTINIENS ET ISRAELIENS,   nous exi geons :   –   Un cessez-le-feu immédiat et pérenne à Gaza, le retrait de l’arm...

MESSAGE DE ZIAD MEDOUKH DE GAZA

Ziad Medoukh, professeur de Français à l'Université Al Aqsa, coordonnateur du Centre pour la Paix de Gaza Bonjour de Gaza A l'occasion du nouvel an, je vous souhaite une bonne et heureuse année pleine de succès, de réussite, de santé et de paix. Que cette année 2010 soit une année de liberté en Palestine et de paix dans notre région et partout dans le monde. Amitiés de Gaza sous blocus mais qui résiste toujours. Ziad Meddoukh